Avant de commencer le récit de cette aventure, je vais vous présenter les protagonistes de cette histoire :
ERIC : le héro
Tapioca : le jeune padawan (excuse moi encore un fois j'ai oublié ton prénom)
Esteban : le fier casqué
Belgarath : le nain.
L'histoire commence dans la vallée brumeuse. Las de combattre un fort lag persistant, Esteban, ERIC et Belga décident de diminuer la population duergar. Chemin faisant, ils font la rencontre de Tapioca. Ils se retrouvent donc tous les quatre face à l'entrée de la mine.
Arrivés à l'intérieur, nos 4 combattants commencent à pourfendre, non sans mal, les duergars avec une tactique très simple, un duergar à la fois et tous les quatre contre lui (je sais vous trouverez çà peut-être pas très loyal, mais ils ont une fâcheuse tendance à taper très durement).
Après quelques allers-retours à travers la mine, les quatre compagnons se retrouvèrent cernés par une multitude d'ennemis. Et c'est à ce moment là que la panique s'est installée. S'ensuit une course effrénée vers la sortie salvatrice.
Les combattants tombent les uns après les autres … sauf un, et je pense que vous aurez deviné de qui je veux parler : ERIC.
Avant de poursuivre, petite description du champ de bataille :
Tapioca : mort et surveillé par une « magnifique » duergar.
Esteban : mort et surveillé par 2 arbalétriers.
Belgarath : mort et surveillé par 2 arbalétriers.
ERIC : sorti sain et sauf (enfin presque) de la mine.
Devant la porte de la sortie : 2 duergars vengeurs avides de sang et de haine.
Eric se retrouve alors devant un problème, que faire dans une telle situation ??
Déjà, ne pas laisser tomber ses camarades de jeux, mais comment les sauver ?
Tout d’abord changement de type d’armement, fini le combat à 2 épées, place au combat à l’épée alliée à un bouclier. Heureusement, ERIC n’est pas seul, même si ses compagnons sont provisoirement décédés rien ne les empêche de lui prodiguer des conseils plus avisés les uns que les autres, dont voici quelques exemples :
« Va chercher de 1 ou 2 suicidaires pour t’aider »
« y’en à deux qui t’attendent juste à l’entrée »
« Sympa ton casque Esteban, c’est quoi ses caractéristiques ? »
« En fait le casque fait partie de l’armure, ce qui veut sire que si tu veut de découvrir devant une dame, il faut tout enlever »
« J’aurais peut être du laisser mon magot dans la banque »
« Ca va Tapioca ? (Excuse moi j’ai oublié ton prénom) »
"Quand je pense que l'on est là à papoter alors qu'Eric cherche une solution pour nous sauver"
« Si tu nous sort de là, Eric, je t’offre xxx po »
« Aller je fais pareil »
Tout çà ponctués de « lol », « mdr » « ^^ ».
Tout à coup, soudain, subitement, une lumière violette fait son apparition au niveau de la porte d’entrée : ERIC est arrivé.
A ce moment des messages d’encouragement crépitent de toute part c’est à partir de là que le combat commence : les lames s’entrechoquent, les critiques fusent (malheureusement surtout contre le seul survivant) mais fort heureusement, Eric n’est pas loin de la sortie qu’il emprunte régulièrement pour reprendre des forces. C’est alors que le premier nains tombent, le deuxième ennemi est lui aussi très rude, Une fois le duergar tués, Eric s’attelle à la décapitation des deux premiers arbalétriers, auquel s’adjoint un troisième qui devait se réveiller de sa sieste. Mais qu’est ce que 3 arbalétriers pour notre fine lame ? Et bien, pour lui ce ne sont que de nouvelles victimes à son tableau de chasse.
Une fois, la première barrière anéanti, Eric décide donc, de commencer à récupérer des renforts, c'est-à-dire faire revivre ses compagnons et là, voila ce que nous dis Eric :
« J’ai pas de rez, je revient, je vais aller en chercher » (les parchemins de rez, c’est comme l’amex, ne sortez pas sans eux
)
Une fois les problèmes d’approvisionnement réglés et une première partie ressuscité, ERIC, Esteban et Belga commencent une charcuterie digne de la charcuterie SANZO. Le sang gicle sur les murs, les membres sont expédiés aux quatre coins de l’empire (une rumeur prétend même que Barrak aurait reçu une jambe sur la tête, l’intéressé n’a pas souhaité se prononcer sur ce sujet). Une fois Tapioca libéré de sa geôlière et de retour dans le monde des vivants, nos quatre combattants décident de faire une petite pose et d’admirer leur environnement : les armures dégoulinent de sang, des bout de chair pendouillent sur les lames, les cadavres ensanglantés gisent tout autour d’eux (désolé je fais une version un peu gore, mais je suis en train de regarder le jour des morts vivants, pour mon prochain récit, je regarderais un film un peu plus soft, du genre Oui-Oui et l’anéantissement des orques).
Une fois les bretteurs reposé, des cris d’acclamations résonnent dans toutes la mine « félicitation » « super grand merci, Eric » et plein d’autre cries de joie de ce genre. Je suis sure que si le pape avait été là, Eric aurait été sanctifié sur le champs : SAINT ERIC Le pourfendeur de Duergar ».
Merci à Eric, Esteban et Tapioca pour cette aventure agréable et riche en rebondissement.
Belgarath
Remerciement : Merci à Argante, qui, sans le savoir, m’a poussé à décrire notre aventure (j’ai adoré ton récit soit dit en passant).
Sur ce je vais aller me coucher. Bonne nuité à toutes et à tous